L'affirmation publique par Jean-Michel Javaux, le président d’Ecolo, de sa foi catholique, une démarche qui a été jugée inconvenante dans le monde politique, oblige de rouvrir le débat sur les relations entre les instances religieuses et l’Etat.. Le moment paraît s’imposer alors que l’irruption de l’Islamisme, le retour observé d’un besoin spirituel rassurant, la désignation d’un nouveau chef de l’Eglise catholique, rouvrent l’ interrogation sur les rapports futurs des religions et de l’Etat.