Chère Claudine,
J’accepte difficilement qu’il y ait, entre nous, un désaccord irritant sur les relations avec les immigrés musulmans. Que nous arrivions à nous disputer à ce propos, alors que, depuis trente ans, nous luttons côte à côte pour conquérir ou préserver nos droits, m’est très pénible. Je voudrais crever l’abcès et clarifier les choses.