Les curés ont fait leurs preuves : à travers les siècles, des millions de couples malheureux à cause des interdits sexuels. Pas besoin non plus d’Imams qui alimentent une névrose sexuelle collective. Au point qu’un homme de l’Islam ne peut apercevoir une mèche de cheveux ou une cheville dénudée de femme sans être saisi d’une pulsion de violence à l’endroit de ladite femme qui sera, selon les usages, battue, fouettée, lapidée, violée, vitriolée ou brûlée vive pour avoir suscité le désir masculin.
Pas besoin non plus d’hommes politiques, carriéristes pêcheurs de voix, qui font alliance avec des groupes qui n’ont que faire de la démocratie libérale. Ils tiennent des discours, dans une langue de bois exotique, et fondés sur une parfaite ignorance ; ils n’ont pas lu une ligne du Coran, ils n’ont pas connaissance des textes de « Déclaration Islamique des droits de l’Homme », etc.
Nous avons besoin d’urgence de « Politichiâtres », capables de soigner à la fois les citoyens qui déraillent et les hommes politiques mentalement aveugles qui n’ont pas conscience de se faire « harakiri ». Ainsi peuvent-ils aider tous les Humains en cause à revivre dans la libre expression, à vivre dans l’égalité des hommes et des femmes, sans condamnation obtuse et injuste de préférences sexuelles, dans la joie sensuelle et dans une société où l’humour, qui suscite le rire, soit considéré comme « le propre de l’Homme ».